Le royaume du Cygne
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Le royaume du Cygne

La guerre menace toutes les frontières du royaume. Les jours passent et la famille royale semble s'affaiblir. Mais dans l'ombre se cache un autre héritier de la couronne
 
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 Nicolaï KalonErc'h [héritier de Florissant] (Terminé)

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Nicolaï KalonErc'h
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Nicolaï KalonErc'h


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Nicolaï KalonErc'h [héritier de Florissant] (Terminé) Empty
MessageSujet: Nicolaï KalonErc'h [héritier de Florissant] (Terminé)   Nicolaï KalonErc'h [héritier de Florissant] (Terminé) EmptySam 30 Jan - 14:40

Nom KalonErc'h

Prénom : Nicolaï

Surnom (facultatif) : Il y en a qui l'appellent: "seigneur", mais il n'aime pas cela. La plupart du temps, c'est Nicolaï ou Nikky. Pour les ménestrels, c’est Fléau-du-Chaos, mais il n’aime pas du tout qu’on l’appel ainsi. Les nordique l'appellent Vaekres. Personne ne sais vraiment se que cela signifie.

Sexe: Masculin

Age: entre 19 et 20 ans

Race : Humain/Vampire

Nationalité: Le duché de Florissant

Description physique: Sans être un canon absolu de la beauté, on ne peut pas dénier à Nicolaï un certain charme. Mais il semble ne pas s’en préoccuper un seul instant. Il ne porte pas plus d’attention à l’effet qu’il produit chez les femmes que de la première paire de chaussette qu’il est enfilée.
Son visage es fin, encadré de cheveux noirs légèrement ondulé qu’il porte toujours mi-long et pour la plupart, attacher derrière sa nuque par une simple lanière de cuir. De temps à autre (surtout lors des cérémonies officielles) un fin bandeau d’argent autour de son front pour bien marquer le fait qu’il soit l’héritier du duché de Florissant. Il prend un grand soin à se raser et ne supporte pas la barbe qui pousse sur son visage si il oubli trop longtemps de prendre cette précaution. Certains trouvent ses traits trop féminins. Il est vrai que son visage peut paraître très fins pour celui d’un homme.
Malgré tout le temps qu’il passe à l’extérieur, sa peau est toujours aussi pâle, voir même ivoirienne. Des mois sous le soleil de Florissant à s’entraîner au combat n’y changent rien du tout et il semble immunisé contre les coup de soleil.
Le nez de Nicolaï est droit. Ni en trompette, ni cassé. Juste droit. Pas trop long, mais pas trop court non plus.
Ses lèvres sont fine et s’étirent parfois en un léger sourire. Mais c’est assez rare car le jeune homme ne souris que lorsqu’il se trouve particulièrement à l’aise ou joyeux. Autant dire pas souvent.
Ses paupières s’ouvrent sur des yeux d’un gris métallique. Il pose la plupart du temps un regard distant sur le monde qui l’entour. Tellement distant qu’il pourrait paraitre froid et hautain. Il n’y a que deux moment ou Nicolaï et ses yeux gris font vraiment peur. Lorsqu’il se bat et lorsqu’il est en colère.
Dans ce premier cas, inutile de chercher une expression sur son visage. Celui-ci est parfaitement lisse et stoïque. Lorsque Nicolaï apporte la mort, il le fait avec une rigueur, une méthode et une précision extraordinaire. Rien ni personne ne semble alors pouvoir l’arrêter et si jamais vous croisez ses yeux à ce moment là, c’est la promesse de votre trépas prochain que vous y verrez. Rien de plus ni de moins. D’autres moment, il se bat comme un forcené, liant à sa maîtrise des armes, une sauvagerie hors du commun. Mais c’est plutôt rare.
Lorsque Nicolaï est en colère, les choses ne sont pas mieux. C’est même pire encore. En effet, il parvient parfaitement à vous faire comprendre rien qu’en vous regardant que se serait bien mieux pour vous si vous disparaissiez dans l’instant. Ses yeux semblent vous lancer des éclairs et vous vous demandez alors si il vas ou non vous sauter dessus pour vous égorger avec les dents.
L’expression martiale, droite et digne du jeune homme n’aide pas beaucoup dans ce domaine. Il se comporte comme les KalonErc’h l’ont toujours fait : comme un modèle de perfaction. Droit, digne, aucun geste inutile, il peut paraître par là particulièrement rebutant. Mais hors des regards, il perd très vite cette rigidité.

Spoiler:

Le corps de Nicolaï est bien proportionné, mince, svelte malgré ses muscles solides. Il n’est pas déformer comme la plupart des combattants. Son thorax est large, mais pas trop non plus. Il garde donc une certaine impression de finesse qui lui vaut pas mal de questionnement. Alors qu’il s’entraîne encore quotidiennement, ses muscles semblent ne pas plus se développer.
Il s’habille de manière sobre et plus fonctionnelle que vraiment esthétique. Pourtant, ses vêtements noirs et gris mettent parfaitement en valeur son corps bien proportionné, sa peau pâle et ses yeux gris. Il porte parfois également un tabard sur lequel sont représenté ses couleurs ou celles de Gwutha.
Malgré toute ses qualités, Nicolaï n’est pas parfait. Il a plusieurs défaut.
Une étrange tache de naissance ayant vaguement la forme d’un oiseau et située au centre de son torse. Elle ressemble à une tache de vin et attire les regards de ceux qui aperçoivent Nicolaï torse nu durant les entraînement. Il est en effet difficile de la manquer sur la peau blanche du jeune homme.
Un autre de ses défaut est une cicatrice sur son épaule gauche. Elle semble avoir put être causée par une épée, mais celle-ci devait avoir une forme très particulière pour avoir causer ce genre de plaie. L’autre possibilité étant que l’épéiste est imprimé à son arme un va-et-vient alors qu’elle était profondément enfoncée dans l’épaule de Nicolaï. Mais il ne donnera aucune explication sur cette blessure qu’il a pourtant récolté au combat et dont bien des hommes se vanteraient.


Caractère : Nicolaï est distant. Avec tout et tout le monde. Cette attitude lui vaut souvent d’être considéré comme quelqu’un de prétentieux et hautain mais il n’en est rien. Passées les premières minutes avec Nicolaï et il enlèvera ce masque bien lisse qu’il garde en permanence. S’il est comme ça, c’est juste pour se protéger de l’extérieur. En authentique KalonErc’h, il arbore toujours ce masque implacable en société. C’est ainsi que les choses fonctionnent à Florissant. C’est se qui terrorise de nombreuses armées. Les soldats de Florissant ne crient pas dans la bataille. Ils ressemblent à de véritables statues.
Ce qu’il a eu à subir quand il était au cloître des Frère Bibliothécaires l’a fait se replier sur lui-même et rejeter tout ce qui pourrait le blesser. C’est à dire tout le monde. Mais en dehors de cela, Nicolaï est quelqu’un de charmant. Il est toujours prêt à donner un coup de main et ne manquera jamais une occasion de se retrouver avec un ami. Malheureusement, il se comporte souvent de manière très détachée et même militaire. Cela rebute beaucoup de monde. Ses rares amis ont de temps à autre l’impression qu’il existe deux Nicolaï. L’un rieur, jovial, et amical, l’autre froid et distant.
Il est parfois effrayant quand sa moitié de vampire s’exprime, mais dans ces moments, il fait en sorte de ne pas se trouver à proximité de qui que se soit car il n’a pas vraiment conscience de se qui lui arrive et ne veux blesser personne. Il agit de temps à autre de manière un peut étrange. La chose la plus déconcertante chez lui est qu’il est capable d’égorger un homme qui s’en prendrait à un enfant ou à une femme et cela sans montrer la moindre émotion. A l’opposé, il sera plein de sollicitude pour celui ou celle qu’il aura sauvé la seconde d’après.
En général, c’est quand il est trop prêt de quelqu’un. Une envie de sang le prend. Pour remédier à cela, il instaure une certaine distance entre lui et les gens qu’il aime. lorsque cette envie est trop forte et qu'il parvient à y résister (tout le temps en fait), il est prit de tremblement et de convulsion. personne ne l'a jamais vu dans cet état. Mais cela ressemble à s'y méprendre à une crise d'épilepsie.
Nicolaï déteste les faux semblant et aime le naturel. En amour, il préférera toujours la servante à sa maîtresse. Non pas qu’il est des penchants dominateur. C’est juste que les femmes nobles sont toujours embellies par des cosmétiques. Se n’est pas le cas avec les servantes. Elles sont naturelles et donc bien plus intéressantes à ses yeux. Passionné et aimant, mais aussi désespérément romantique, il attend (un peut de manière stupide) le grand amour.
Mais il ne se laisse pas approcher très facilement. A Florissant, obtenir de lui un compliment sincère de lui revient souvent à se faire détester de tout se qui porte un jupon dans le duché pour la simple et bonne raison qu’il fait partit des meilleurs partit du nord du royaume.


Qualités : Fidèle, serviable, courageux, amical, aimable.

Défauts : Martial, sec, distant et hautain au premier abord.

Équipements : Comme tout chevalier de l’Epée qui se doit, Nicolaï possède une Faneras. L’arme est une épée à la lame droite à double tranchant dont le plat est orné de superbes runes naines passées à la feuille d’or. Le pommeau était tout aussi simple. La garde était droite et fine, le pommeau proprement dit était droit et le bois qui le constituait était recouvert de cuir qui permettait une prise en main parfaite. L’extrémité du pommeau était ornée d’un magnifique pierre bleue. Comme toutes les lames des chevaliers de l’Epée, cette épée fut forgée dans le fer de Florissant par un maître forgeron nain de la cité souterraine de Kharath-Hin. Jamais cette lame ne trahira son possesseur. Jamais elle ne se brisera ou ne s’émoussera. In-maniable pour quiconque d’autre voudrait l’utiliser car elle a été forgée pour la main et le bras de Nicolaï. Celui qui voudrait s’en servir sans l’autorisation de Nicolaï perdrait ses mains, brûlée par le feu du dragon qui fit du fer de Florissant un métal unique au monde.
Sur son écu, il a fait représenter son blason. Une double bande bleu sur fond blanc.

Spoiler:

Il a dessiné lui-même ce blason pour trois raisons. Premièrement et celon la tradition cygnacs, il fallait qu’il le face pour pouvoir être différentié de Gwutha sur le champ de bataille. La seconde raison est qu’il gagna un paris avec le duc de Florissant. Et enfin, la dernière raison est que, n’étant pas le fils de Gwutha, il ne peut pas hériter de son blason, même s’il héritera de son titre.
Il porte un heaume de bataille orné du cygne royal. En général, il le porte assez peut, mais fait un effort car se battre sans cette protection serait très dangereux.

Spoiler:

Il porte également à la main gauche l’un des deux anneaux d’Estaroth. Peut de personnes savent qu’il en existe deux. C’est chevalière d’argent sur laquelle est gravé en relief un dragon. Cette bague est celle du duc de Florissant depuis qu’Estaroth KalonErc’h mit à bas le dragon Aronwaskar et fonda la ville de Florissant et le duché. C’est Gwutha, le père adoptif de Nicolaï qui lui donna cette bague afin qu’il soit reconnu ou qu’il se trouve. En réalité, cet anneau possède un jumeau que Gwutha a gardé avec lui. Le duc de Florissant doit en effet toujours garder l’anneau d’Estaroth sur lui car c’est son seau officiel. Moins de gens encore savent que si un deuxième anneau existe, c’est qu’il s’agit des bagues de mariage d’Estaroth et de Kiraë, la jeune elfe pour qui il avait défier Aronwaskar.



Histoire : J'espère que vous êtes bien installé, c'est plutôt long.

Le Loup et l'esclave:
Spoiler:
Tout commence il y a un peut plus de vingt année alors que le Prince Rouge Ulrick Von Erkuf conquis la ville Tiléenne de Briscana, infligeant une sévère défaite aux Légion Tiléenne du Nord Est. A cette occasion, de très nombreux esclaves furent capturé.
Ulrick ordonna, à son retour dans sa citadelle de Draugheim, de ‘‘faire le tri’’ parmi les prisonniers afin de trouver tout ceux qui pourraient servir de Rossignols. C’est là que sortit du lot une jeune esclave aux cheveux roux et aux yeux d’un bleu d’océan. Elle disait s’appeler Opia Julia Estalia. Elle chantait comme une déesse au poing qu’elle tira une larme au vampire qui auditionnait les nouveaux Rossignols.
Elle fut immédiatement lavée, peignée, vêtue de soie et parée de magnifiques bijoux. Le soir même, elle dut chanter devant celui à qui elle devait le collier d’esclave qui pendait à son cou. Elle dut chanter pour Ulrick et tout les seigneurs de sa cour vampirique festoyaient de leur victoire.
La jeune femme réussi à émouvoir tout les vampires et entra au service d’Ulrick en tant que Rossignol très rapidement ensuite.
Au début, Ulrick dominait cruellement la jeune femme. Il se servait d’elle comme d’un simple jouet qu’il pouvait torturer à l’envie. Mais Opia ne broncha jamais. Elle subit tout sans se plaindre ni dire quoi que se soit, faisant son devoir d’esclave. Mais petit à petit, Ulrick se fit plus délicat et plus aimant. A la cour de Varheim où il se rendait de temps à autres, on constatait ce changement avec étonnement. L’un des plus violent et des plus féroce vampire s’attachait à son esclave, la traitant avec une certaine délicatesse.
Ulrick entra en conflit avec son père, le grand Viktor Von Erkuf, quand il voulut prendre des mesures pour améliorer les conditions de vie des esclaves humains. Puis, il quitta Varheim pour retourner dans sa forteresse et ne reparut plus à la cour de son père. Sur ses terres, le vampire prenait les mesures que son père n’avait pas voulut prendre à l’échelle du royaume. Il fut rejoint par d’autres vampires qui étaient tombé amoureux d’un de leurs esclave. Ils pouvaient, dans l’archi-duché de Draugheim, vivre leur amour au grand jour sans craindre le regard des autres.
Un jour, Opia annonça à Ulrick qu’elle attendait un enfant de lui.
Viktor qui voyait d’un mauvais œil le comportement de son fils lui envoya plusieurs messages lui ordonnant d’annuler les lois stupides qu’il avait promulguer. Mais Ulrick n’en fit rien.
Ignorant qu’Opia portait son petit fils, Viktor rassembla une armée et marcha vers Draugheim. Il avait été forcé de déclarer son fils et la jeune femme qui avait auparavant été son Rossignol ennemis du royaume après avoir apprit leurs épousailles.
La guerre entre le père et le fils fut brève. Pourtant, face à presque toute la Garde de Sang, la forteresse de Draugheim teint presque un an (la guerre entre Viktor et Ulrick dura en tout et pour tout 14 mois).
Nicolaï naquis pendant le siège de la forteresse de son père. Ulrick fit sortir sa jeune femme et leur enfant nouveau né du château par un souterrain. Mais les vampires et les maigres troupes d’Ulrick furent dépassé et massacré. Draugheim fut incendier au poing que même les roches de la forteresse fondirent.
La rumeur prétend qu’au moment ou il apprit par un prisonnier que l’esclave tiléenne de son fils attendait un enfant, il regarda la forteresse de Drauheim en proie aux flammes, poussa un hurlement de douleur et fondit en sanglot, persuader qu’il venait de causer la mort de son fils et de son petit fils du même coup.
Mais le Roi-Vampire avait tord. Opia courait loin de là dans les plaines stérile de Gaste, son enfant serrer contre elle.
On ne sait comment la jeune femme réussi, mais elle traversa presque la totalité du monde pour finir sa route dans le duché de Florissant ou elle eu juste le temps de confier son enfant à une communauté de bibliothécaires vivant à l’écart du monde avant de mourir. C’est ainsi que Nicolaï arriva parmi les humains alors qu’il était âgé de moins de deux ans.
De ces évènements, aucune personne extérieure ne sait rien. La seule chose qu’on apprit fut que le Prince Ulrick était mort. Mais cette nouvelle passa inaperçus car Viktor lança à la même époque de grandes campagnes de conquête d’une violence extrême.


Adoption:
Malgré tout les efforts qu'il pouvait faire, Nicolaï ne se sentit jamais à sa place parmis les bibliothécaires. Il était mis à part, les autres enfants le regardaient toujours de travers et l'excluaient volontairement de tout leurs jeux. lorsque le jeune garçon tentait de s'approcher, eux s'écartaient. Nicolaï n'eus donc que peut d'amis (si se n'est aucun) durant cette période.
Bien souvent, il était la cible de plaisanteries douteuses qui lui ont même laissé quelques petites cicatrices.
L'histoire de Nicolaï a basculer le jour du tournois d'Estaroth. Tournois organisé tout les ans par le duc pour célébré la victoire du premier duc sur le dragon Aronwaskar. A cette date, Frère Anselm, le bibliothécaire qui c'était toujours occupé de Nicolaï, avait descidé qu'il quitterait leur communauté. Mais pas pour devenir un vagabond. Le jeune garçon fut présenté, avec d'autres enfants au duc Gwutha KalonErc'h qui cherchait un enfant pour en faire son héritier après la mort de sa seconde épouse l'année passée. Se fut Nicolaï qu'il choisit. Pourquoi cela? Les raisons sont connues de Gwutha et de lui seul. Mais c'est lui que le duc a choisit. C'est lui qui partit vers la Citadelle après la fin du tournois et c'est lui qui mena une vie difficile pour apprendre en quelques semaines se que les autres enfants de la noblesse avaient eu des années pour assimiler.

La Faneras:
Spoiler:
Comme tout fils de noblesse, Nicolaï devint Chevalier de l'Ecu. Il lui fallait prendre les armes pour prouver sa valeur et montrer qu'il était digne de son rang. Il commença par remplir une petite mission d'escorte qui lui rapporta une poignée de Ducats. Mais se fut lorsque les nordiques réussirent à forcer un col dans les Pics Blancs qu'il se distingua vraiment.
Nicolaï participa à la bataille en compagnie d'un bon nombre de soldat et de chevalier. Le fait marquant de cette bataille fut l'affrontement entre Nicolaï et un Favori.

Nicolaï enfonça son épée dans le corps d’un nordique qui venait l’attaquer sur la droite, parait de son bouclier un coup de hache venant de la gauche avant de frapper le nordique à la hache d’un grand coup de pied. Toujours à cheval, le jeune chevalier continuait à progresser dans les rangs des barbares du nord en frappant dans tous les sens pour tuer les nordiques.
Il ne savait pas ce qu’il était advenu des autres membres de la cavalerie, ni même où en étaient les soldats à pied.
Nicolaï n’avait aucune idée de se qui s’était passer après la charge ni de la façon dont évoluait le combat. Il avait passé son temps à combattre et à frapper dans tout sens. Les nordiques arrivaient toujours plus nombreux.
A force de lever et d’abaisser son épée, il commençait à fatiguer. Pourtant, il savait que s’il montrait le moindre signe de faiblesse, les nordique n’hésiteraient pas un seul instant pour s’en prendre à lui.
Nicolaï jeta un regard autour de lui pour voir un peut l’avancement de la bataille. La cavalerie c’était enfoncé dans les rangs des nordiques sans la moindre difficulté, les chevaux piétinaient sans la moindre pitié tout se qui se trouvait sur son passage. Mais une bonne part des cavaliers était à présent pied-à-terre. Rares étaient ceux qui étaient resté sur leurs chevaux. Impossible de savoir combien était mort. En tout cas, la ligne formée par les fantassin tenaient toujours bon face aux barbares déchaîné qui essayait de sauter au dessus du remparts de bouclier qu’avaient ériger les soldats.
Nicolaï comprit un peut trop tard qu’il n’aurait pas dut détourner son attention du combat. Un gros nordique sauta sur lui, le faisant vider ses étriers et tomber lourdement au sol.
Le jeune chevalier ne sut pas se qui avait bien put motiver cet instinct, mais il roula sur lui-même. Le fer d’une grosse hache de bûcheron se planta dans le sol là ou Nicolaï c’était tenu juste une seconde plus tôt. Il se redressa et donna un grand coup d’épée sans vraiment savoir où il frappait.
Le sang chaud du nordique éclaboussa son visage, lui laissant un goût métallique dans la bouche
Nicolaï sentit quelque chose de bestial courir en lui. C’était comme si son cœur ralentissait, que ses muscles étaient à nouveau pleins d’énergie.
Il se rappela de l’impression qu’il avait ressentit lors de son premier combat contre Arzhul. Se qu’il ressentait aujourd’hui était en tout point identique à se qui c’était passer durant le tournois d’Estaroth.
Nicolaï vit approcher deux nordiques, l’un armé d’une épée rudimentaire et l’autre d’une masse. Ces deux guerriers allaient tellement lentement qu’il se demandait si ils n’avaient pas été touché par un sortilège de lenteur. Mehoud en avait lancé un une fois. Cela avait eut à peut prêt le même effet. La cible du magicien, un jeune noble prétentieux c’était déplacer à la vitesse d’un escargot durant les trois heures qui avaient suivit.
Pourtant, deux choses n’allaient pas. Premièrement, il n’y avait aucun magicien dans l’armée. Deuxièmement, toutes les deux armées étaient concernées par cet état. Tout le monde semblait se déplacer avec lenteur.
Nicolaï se débarrassa de son bouclier d’un geste et saisit son arme de sa main droite à présent libre.
Il se baissa doucement, et d’un revers de lame aussi précis et rapide qu’imparable, il trancha la gorge du premier des deux nordiques. Encore une fois du sang l’éclaboussa et coula dans ses lèvres. Sa rage de se battre s’accentua encore.
Le barbare à la masse ne put même pas se défendre. Maniée à deux mains, l’épée de Nicolaï trancha net la massue avant de tracer une longue ligne sanglante dans le corps du barbare, tranchant la chair et les os avec autant de facilité.
Frappant à droite, à gauche, les coups de Nicolaï ne manquaient pas leurs cibles et les cadavres s’accumulaient sur son chemin.
Le jeune homme s’approcha d’un petit groupe de nordique qui s’apprêtait à lancer l’assaut final contre un chevalier blesser et aux abois.
La lame de Nicolaï s’abattit une première fois, tuant l’un des nordiques. Les autres, surpris par l’arriver du jeune chevalier changèrent de cible.
Nicolaï poussa un grand cri de guerre. Les nordiques durent voir quelque chose à se moment là qui leur fit peur car tous reculèrent. Les plus courageux d’entre eux restèrent sur place, tremblant, n’osant plus quitter le chevalier des yeux. Les autres avaient laissé leurs armes et fuit à toute jambe. En hurlant un mot que Nicolaï ne connaissait pas : « Vaekres ».
Sans la moindre pitié, Nicolaï frappa chacun des barbares.
Il jeta un rapide coup d’œil au chevalier qui, sa Faneras à la main le regardait complètement médusé.
Nicolaï ne lui accorda pas plus d’attention. Il avait envie de meurtre de voir couler le sang. Il ne se connaissait pas cette brutalité, mais l’acceptait. Elle lui permettrait de rester en vie durant l’enfer des bataille qu’il allait devoir mener.
L’épée de Nicolaï se remis à frapper et à tailler chaire et os.
Cette arme n’était pas d’une qualité excellente, mais entre ses mains, elle devenait un véritable instrument de mort. Même s’il hésita un instant à savoir si c’était vraiment cet arme l’instrument et non lui.
Dans la folie des combats, Nicolaï entendit à de multiples reprises les nordiques crier : « Vaekres » en le voyant arrivé. Cela entraînait toujours une réaction de terreur chez ces hommes qui pourtant était réputé pour ne pas connaître la peur.
D’un seul coup, la terreur changea de camps. Un grand guerrier portant une improbable armure se rua à lui seul sur les archers qui se tenait le côté nord du champ de bataille. L’armure rouge était aussi voyante par mis les soldats blanc et argent, qu’une goutte de sang dans la neige. Les soldats tombaient les uns après les autres sous les coups de ses deux monumentales haches.
-Un Favori, un Favori du chaos, hurlèrent les soldats en commençant à rompre les rangs.
Malgré les ordres hurlé par les capitaines pour maintenir les lignes et s’en prendre au guerrier en armure rouge, la panique commençait à s’installer parmis les estariens.
Les deux énormes haches de bataille tournaient dans les mains du Favori avec une rapidité effrayante et mortelle.
Nicolaï ne sut pas vraiment se qui lui prit. Peut-être était-ce cette étrange énergie qui courrait dans ses veines qui le poussait à faire des choses insensée. Peut-être lui donnait-elle l’impression d’être invincible.
Toujours est-il que le jeune homme se rua sur le Favori.
Ces guerriers étaient des tueurs nés. Ils avaient toujours combattu dans un seul et unique but : attirer l’attention de leurs dieux par leurs exploits sanglant. Pour les rares qui réussissaient, ils étaient ‘‘béni’’ par leur dieu qui leur accordait une force surhumaine et déformaient leur corps en échange d’une partie de leur âme.
En général, une douzaine d’homme n’étaient pas suffisants pour vaincre un Favori.
Ramassant en chemin un bouclier encore en bon état qui traînait dans un bourbier sanglant, Nicolaï se tailla une route dans les rangs de l’armée de pillards à grands coups d’épée et en écartant tout les soldats qui se trouvaient sur son passage. Les lames de ses deux redoutables haches tournoyaient en tout sens, taillant ici une bras, une tête ou éventrant un plaston.
Le Favori avait fait le vide autour de lui et s’enfonçait toujours pour plus dans les rangs d’archers qui se faisait balayer à grands coups de hache. Il ne mit pas très longtemps à repérer Nicolaï ses quatre yeux se braquèrent sur le chevalier qui courraient dans sa direction. Il parut hésiter un instant. Cela semblait pour lui quelque chose d’étrange.
Depuis que Korgrag lui avait accordé ses pouvoirs et fait de lui l’un de ses Favoris, ses ennemis le fuyaient. Le fait qu’un d’entre eux lui fonce droit dessus lui paraissait bien étrange. Mais bon. Il pourrait peut-être s’amuser un peut.
Nicolaï brandit son épée et porta le premier coup.
L’épée rebondit sur l’armure.
Le Favori comprit alors que se n’était pas un simple soldat qui lui faisait face. Cet être était certainement aussi féroce et avide de sang que lui.
Les deux haches s’enfonçaient dans le bouclier. Quand le Favori les retiras rapidement pour parer le coup d’épée suivant, il emporta avec lui la moitié des plaques de bois du bouclier.
Nicolaï n’atteignit pas son principal objectif, la gorge du Favori, ce derniers avait pourtant réagir trop tard pour évité une blessure. La pointe de l’épée de Nicolaï se glissa dans une des visières de son casque et à entendre le hurlement de douleur, le Favori venait de perdre un de ses quatre yeux.
Nicolaï se recula pour éviter un coup de hache qui ne vint pas.
Le Favori arracha son casque de sa tête en hurlant.
Ses traits n’avaient absolument plus rien d’humain. Une peau violette, plus de nez, une bouche ronde et dépourvue de lèvre. Dans ce cercle noir et béant qu’était sa bouche danssait une langue violette qui ressemblait alors plus à un tentacule. Il y avait aussi ces trois rangées de dents pointues et aussi aiguisée que des lames de rasoirs. Non. Si cette chose avait eu un jour quoi que se soit d’humain, elle l’avait perdu depuis bien longtemps.
D’un geste haineux, il jeta ses haches aux sols et se rua tête baissée sur Nicolaï. Cette fois, il n’allait pas se servir de ces armes. Ce chevalier, il le tuerait de ses propres mains.
Nicolaï reçut le Favori de plein fouet dans le ventre et tomba au sol. Sous l’impacte, l’épée de Nicolaï lui échapa des mains.
Les poings de l’immonde créature frappèrent à trois reprises les côtes du jeune homme.
Nicolaï senti la douleur annihiler sa volonté. Il ne comprit pas immédiatement se qui se passait quand les mains du Favori se refermèrent sur sa gorge.
Plusieurs soldats tentèrent de détourner l’attention du Favori de sa victime. Il les écarta tous à mains nues, leur flanquant de grands coups de poings. Nicolaï espéra un instant qu’ils n’étaient pas morts, mais la grosse bosse dans le casque du dernier guerrier frappé et le sang qui coulait sur sa nuque lui fit perdre tout espoir quand à la survie de cet homme.
Il commençait à manquer d’air et la poigne du Favori semblait se resserrer à chaque instant. Il ne parvenait pas à desserrer l’étreinte de la créature.
Nicolaï senti soudain quelque chose sous sa main. Dans un dernier effort de volonté, il frappa de toutes ses forces avec cet objet.
Une vague de liquide chaud se rependit sur lui.
Nicolaï leva les yeux. Un tronçon d’épée brisée dans la main, il venait d’ouvrir une longue estafilade dans la gorge de taureau du Favori. Le sang en coulait abondamment. Un sang vert et épais qui se répandait au sol. Une lueur d’incompréhension brilla un instant dans les trois yeux ronds qui lui restait, puis il s’effondra sur Nicolaï. Mort.
Plusieurs soldats s’approchèrent et aidèrent Nicolaï à se dégager du Favori. Le jeune homme réussi à se redresser et, avec beaucoup de précautions, à se mettre debout.
Les deux soldats qui le soutenaient l’aidèrent à s’éloigner des combats. Il fallait l’emmener voir les guérisseurs.
Devant la mort de leur champion, les nordiques commençaient à refluer vers le nord. Brandissant bien haut leurs bannières, les portes étendard des différentes cohortes entonnèrent un champ de guerre.
La bataille était gagnée.


Depuis, il est retourné à Florissant. Il possède sa propre Farneras, mais malgré les troubles internes qui agitent le royaume, il n'y a rien pour l'instant que le jeune homme puisse faire.

Magie : Pas le moindre petit sortilège. Pas même une légère flamèche

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Dernière édition par Nicolaï KalonErc'h le Dim 19 Déc - 21:18, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Nicolaï KalonErc'h [héritier de Florissant] (Terminé)   Nicolaï KalonErc'h [héritier de Florissant] (Terminé) EmptyMer 17 Fév - 18:58

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Enfin plus sérieusement, j'espère pouvoir lire ta fiche avant ce soir ^^
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