NomL'a oublié et Breena ne lui a pas dit.
Prénom : Maximilian
Surnom (facultatif) : Max
Sexe:Mâle
Age:19 ans
Race : Humain
Nationalité: A toujours vécu chez les Vampires, dans le Royaume de Gaste.
Description physique:QUe dire? Il s'agit d'un jeune homme de 19 ans, assez grand, bien que plus petit que Breena de presque un pied, Ses cheveux sont blonds comme les blés et ses yeux d'un bleu profond. Son corps n'est pas chétif, étant donné ce que Breena lui fais subir depuis son enfance, mais il ne pourrait vaincre que des êtres particulièrement faibles.
Son dos est marqué par de nombreuses traces de fouet et il y a parfois des griffures d'ongles d'orteil sur ses lèvres ou sa bouche. Les ongles de Breena l'ont aussi marqué lors de punitions, et il a déjà été mordu au cou. TOut cela a donc laissé des traces, mais la plus visible est sur son épaule gauche: les Armes de Breena Commins y ont été apposées au fer rouge, et elles y sont toujours, intactes, protégées par la magie, probablement.
Caractère:Que dire de Max? Son caractère est doux et la vie lui a appris à être obéissant et silencieux, puisqu'il est esclave depuis ses cinq ans. Dans ce genre de situation, comment voulez vous faire preuve de caractère? Il était une pâte à modeler vierge lorsqu'il est tombé entre les mains de Breena et elle a pu le façonner selon ses désirs, en un être aimant, doux, obéissant. Trop peut-être. Dans la vie, ses seuls plaisirs concernent tous ceux de sa maîtresse. Il aime être à ses pieds, il aime la masser, il aime lui faire plaisir. Il n'a plus aucune autre volonté que celle de sa maîtresse.
Qualités : Est d'un naturel silencieux, n'est pas larmoyant, et, qualités fondamentales pour un rossignol, est fidèle et obéissant.
Défauts :Aime souffrir entre les mains de Breena. Devient fou de dévotion dès qu'il voit Breena pieds nus.
Équipements : Il ne possède que la laisse à son cou.
Histoire : (au moins 10 lignes):
Il y a de cela dix neuf ans, dans les terres de Gaste, un couple de serfs mit au monde son sixième enfant, un fils. Ces serfs étaient mes parents. Mais ne me demandez pas leur nom, je n'en ai aucun souvenir. De qui ai-je les yeux? Mon père? Ma mère? Et ces cheveux? Impossible de le dire. Je n'ai aucun souvenir de mes cinq premières années. Est-ce triste? Je ne sais pas. Je suis si heureux avec Maîtresse Breena! Je me souviens du jour de notre rencontre. Je jouais à travers champs lorsque je vis une gigantesque silhouette d'une femme magnifique. Breena, ma maîtresse. Ignorant pourquoi, je me suis approché d'elle et ai saisi les pans de sa robe en souriant. Je ne pourrais raconter les propos que ma mère et ma maîtresse échangèrent, mais je repartais dans les bras de ma maîtresse, blottit contre son cœur, une mèche en main. Oui les vampires ont un cœur eux aussi, et je peux vous le dire, il bat, il peut même battre très fort.
J'ai donc ainsi commencé ma vie d'esclave. Maîtresse Breena s'occupait personnellement de mon éducation: des choses assez humiliantes visant à me dresser, tel savoir marcher en laisse, à des choses plus utiles comme lire, écrire, compter, une éducation somme toute assez riche et diversifiée, afin que je sois de plaisante compagnie, et les armes de Breena sur mon épaule gauche, au fer rouge, étaient le seul rappel de mon statut. Et au lieu de l'appeler maîtresse, je me mis à l'appeler Maman. Au début cela passa doucement, tranquillement, puis elle se sentit faiblir, eut peur, et me punit alors, m'interdisant de l'appeler autrement que Maîtresse. C'est à cette époque, j'avais alors six ans, que je découvris la morsure du fouet. Elle entreprit alors d'essayer de faire de moi un esclave, de ne plus avoir un comportement maternel mais au lieu de vivre tel un esclave craintif je devins un petit chiot dévoué qui venait se coucher à ses pieds et montrait son affection en les lui léchant. J'avais alors sept ans.
La puberté fut une étape difficile. J'étais toujours aussi obéissant mais… Mes sentiments envers ma maîtresse n'étaient plus d'une grande pureté, lorsque je lui léchais les pieds, c'était autant pour manifester mon amour que mon plaisir. C'est à cette époque d'ailleurs que ce geste ne me fut autorisé qu'en récompense. Et je reçu un nouveau dressage: j'apprit à masser ma maîtresse avec la plus grande dévotion.
Et la vie fut tranquille pour moi qui vivait tranquillement aux pieds de mon adorable maîtresse, aimé mais parfois punis sans raison. Je m'y étais fait, ainsi allait la vie… Jusqu'à mes Dix huit ans.
Il y a de cela un peu plus d'un an maintenant, Breena m'a fais un cadeau exceptionnel: elle fit de moi son amant pour mon anniversaire. Depuis, l'expérience n'a été renouvelée que deux fois mais je dois avouer que j'aime encore plus ma maîtresse et lui suis encore plus dévoué depuis.
Magie :Aucune, on n'apprends pas la magie aux esclaves.
Autres:Rien à déclarer.
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