Le royaume du Cygne
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La guerre menace toutes les frontières du royaume. Les jours passent et la famille royale semble s'affaiblir. Mais dans l'ombre se cache un autre héritier de la couronne
 
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 Les Légendes de Florissant

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Nicolaï KalonErc'h
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Nicolaï KalonErc'h


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MessageSujet: Les Légendes de Florissant   Les Légendes de Florissant EmptyLun 22 Mar - 10:19

L'Épopée d'Estaroth:

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Cette légende prend sa base au plus profond des Ages. Durant la période la plus sombre de l’Histoire. L’Age de Mort. Durant cette Age plus sombre que nul autre depuis, alors que l’origine du monde et de l’Humanité se perd dans les limbes du temps, les Dragons, superbes et terribles régnaient en maître, écrasant par leur feu ou leur griffe tout ceux qui tentaient de se révolter contre leur pouvoir.
Les Humains étaient réduit en esclavage, forcé de leur fournir des sacrifices pour contenter l’appétit de ces êtres immondes qui ordonnaient qu’on les vénère comme des dieux.
Les Nains étaient ensevelit par des tonnes de roc lorsqu’ils ne fournissaient pas assez de métaux et de pierres précieuses à leurs terribles bourreau.
Les Ogres servaient de pâture aux Dragons. Massacré sans la moindre pitié pour la simple raison que par leur grande taille et leur fort ventre, il n’était pas besoin d’en avaler un grand nombre pour contenter l’appétit des dragons.
Quant aux Elfes. De tous, le Beau-Peuple était celui qui souffrait le plus. Nul Elfe de devait survivre. Traqué sans pitiés par les terrifiants dragons, ils étaient mis à mort sans plus de clémence. Mort brûlé ou écraser, déchirer par les griffes ou les crocs des Dragons, tout les Elfes périssaient.
Mais une oppression sanglante entraîne une réaction tout aussi violente.
Fréquemment, Hommes, Nains, Ogres et Elfes se rassemblaient pour combattre les Dragons. Mais nul ne pouvait les blesser car leur peau était aussi dure que l’acier et aussi épaisse d’un homme. Toute les tentatives de rebellions étaient tuée dans l’œuf, écrasée sans la moindre pitié.
Plus le temps passait et plus l’espoir de se dégager de l’emprise des Dragons furent mince. Plus le temps passait, plus les hommes et les nains étaient soumis à leurs maître. Acceptant sans rechigner les traitements qu’on leur faisait subir. Plus le temps passait, plus les Elfes et les Ogres se faisaient rare. Les Dragons se réjouissaient de la disparition des Elfes. Il les jugeaient trop dangereux. Trop puissant. Les Hommes étaient manipulables sans grandes difficulté. En revanche, manipuler un Elfe était bien plus complexe.
Mais partout dans le monde fleurirent les caches et les abris. Des Hommes et des Nains cachaient en leurs maisons et au péril de leur vie des Elfes.
Se fut le cas de l’Elfe Kaïraë Lycinaë. Elle était, comme ses compatriotes, d’une beauté irréelle. Ses longs cheveux blonds descendaient en une cascade d’or dans son dot. Ses yeux d’un bleu irréel semblaient contenir dans leurs prunelle toute les étoiles du ciel.
Il n’en fallait guère plus pour que tout les jeunes hommes du bourg au courant de sa présence ne tombent amoureux d’elle. Mais la jeune Elfe n’avait d’yeux que pour l’un d’eux. Un garçon d’écurie. Orphelin n’ayant jamais connu ni son père ni sa mère. Il travaillait à la forge à ses heures perdue et aidait ceux qui en avait besoin.
Le nom de ce jeune garçon devait un jour entrer dans l’Histoire.
Estaroth.
Kaïraë le choisit lui. Il n’avait rien de bien singulier. Se n’était pas le plus riche, le plus beau ou le plus intelligent. C’était même le plus discret de tout ses prétendants. N’osant pas avouer ses sentiments, il se comportait toujours de manière distante et austère.
Se fut ce jeune homme que Kaïraë choisit pour amant. Se fut à lui qu’elle s’offrit.
Les deux jeunes personne vécurent durant un mois un amour sans borne. Un amour fait d’attention et de baisé. Un mois de bonheur commun. Estaroth se comportait toujours de manière austère, mais Kaïraë avait ouvert sa carapace. Pour elle seule.
Malheureusement, toute chose à une fin.
Jaloux d’Estaroth, Karad, l’un des prétendants les plus virulent de l’Elfe alla chercher les prêtres du culte du Dragon Aronwaskar qui régnait alors sur ces terres. Il aveuglé par sa haine d’Estaroth et sa frustration de ne pas avoir été choisit, il dénonça l’Elfe. Si lui ne pouvait être aimé de Kaïraë, alors personne ne le serait. Mais par pur haine, il ne dit rien au sujet des autres prétendants. Pas même sur Estaroth. Il voulait voir ce minable garçon de ferme pleurer la perte de son aimé et appeler la mort de ses vœux. Les exécutions de ce type étaient en effet publique Aronwaskar tuait lui-même les elfes qui étaient prit et tous devaient les regarder se tordre et hurler de douleur sur leur poteau tendis que les flammes du dragon tuaient la malheureuse victime.
Lorsque Kaïraë fut emmenée, Estaroth devint fou de douleur. Il quitta le village et courut jusqu’à la falaise toute proche. Il n’imaginait pas vivre sans son aimée. S’il sautait, il périrait à coup sur. Kaïraë le rejoindrait vite et ils pourraient de nouveau s’aimer dans cet autre monde où allaient les morts.
Mais les dieux en avaient décidé autrement. Avant de sauter dans le vide, Estaroth fut arrêter par un homme très grand à la peau sombre et aux yeux d’un bleu incroyable. Celui-ci lui dit qu’il y avait un moyen de sauver Kaïraë. Estaroth saisit cette chance qui s’offrait à lui.
L’homme lui donna rendez-vous dans la forge du village, lui commandant de faire un feu plus grand qu’il n’en avait jamais fait. Un feu d’une chaleur extrême.
Estaroth s’exécuta et, la nuit même, l’homme revint avec une grande quantité de métal. Il le portait sans sembler éprouver la moindre difficulté.
Jamais Estaroth n’avait vu pareil métal. Mais il ne demanda rien à l’homme et tout deux s’activèrent à la forge. Toute la nuit et durant les deux jours suivant, les deux hommes battirent le métal. Nul n’osait les déranger.
La veille de l’exécution de Kaïraë, ils eurent fini la tâche qu’ils s’étaient fixer. Trois objets étaient né de leur travail : une épée, une armure et un bouclier.
La première Faneras était née.
L’homme aux yeux bleu quitta Estaroth en lui souhaitant bonne chance.
Armé de pied en cape, Estaroth pénétra dans la caverne d’Aronwaskar. Taillé dans un roc d’une taille titanesque, le « palais » du dragon dominait l’embouchure d’un grand fleuve : l’Argent.
La peur au ventre, le jeune homme s’enfonça de plus en plus profondément dans le repère du dragon. Jusqu’à découvrir en face de lui la créature.
Le combat qui s’en suivit fut terrible. Aronwaskar faisait pleuvoir tout le feu de ses poumons sur Estaroth. Le jeune homme protéger par son épée et son bouclier frappait la créature de toute ses forces.
Après une lutte titanesque, Estaroth parvint à venir à bout du Dragon. Celui-ci s’effondra, terrassé par l’épée.
Estaroth fit par la suite massacrer tout les prêtres du Dragon.
Il posa ensuite la première pierre d’une nouvelle citée : Florissant.
Sur le roc d’Estaroth, il établit un bastion : La Citadelle.

La légende prétend plusieurs choses.
D’après elle, Estaroth aurait épousé Kaïraë et fondé la célèbre lignée des KalonErc’h. Il participa à la célèbre Guerre de l’Aube. Lorsque fut venu l’heure pour lui de mourir, Kaïraë décida de le suivre au tombeau, abandonnant le don de sa vie pour demeurer avec son amant. La seule personne qui l’ai jamais aimé.

D’après la légende toujours, Aronwaskar serait toujours présent dans le roc qui surplombe l’Argent. Les versions diffèrent alors. Certains prétendent qu’il est belle et bien mort. Une autre version dit qu’il ne serait que gravement blesser et que seul la disparition de tout les KalonErc’h et la destruction de la Citadelle lui permettrait de quitter sa prison.

Mais quoi qu’il en soit, aucune des rumeurs concernant la présence du Dragon sous la Citadelle n’est vérifiée. Seuls les ducs pourraient confirmer ou infirmer cette rumeur. Mais aucun d’entre eux ne l’a jamais fait.
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